Le 19 juin, le rythme de la reprise économique de la Nouvelle-Zélande après la récession de 2024 s’est accéléré au premier trimestre alors que la banque centrale abaissait les taux d’intérêt et que les exportations bondissaient. Le PIB de la Nouvelle-Zélande a augmenté de 0,8% en glissement trimestriel au premier trimestre, contre 0,5% révisé au quatrième trimestre de l’année dernière et légèrement supérieur aux attentes des économistes de 0,7%, selon les données publiées jeudi par Statistics New Zealand. Bien que l’économie soit encore plus petite qu’elle ne l’était il y a un an, cette reprise sera bien accueillie par le gouvernement, car elle fait de la croissance économique une priorité clé avant les élections générales de 2026. Mais l’économie est maintenant mise à l’épreuve par l’incertitude liée aux tensions commerciales mondiales, ce qui freine les dépenses et les investissements et fait craindre un affaiblissement de l’expansion.
Voir l'original
Cette page peut inclure du contenu de tiers fourni à des fins d'information uniquement. Gate ne garantit ni l'exactitude ni la validité de ces contenus, n’endosse pas les opinions exprimées, et ne fournit aucun conseil financier ou professionnel à travers ces informations. Voir la section Avertissement pour plus de détails.
L'augmentation des exportations stimule le rythme de la reprise économique de la Nouvelle-Zélande.
Le 19 juin, le rythme de la reprise économique de la Nouvelle-Zélande après la récession de 2024 s’est accéléré au premier trimestre alors que la banque centrale abaissait les taux d’intérêt et que les exportations bondissaient. Le PIB de la Nouvelle-Zélande a augmenté de 0,8% en glissement trimestriel au premier trimestre, contre 0,5% révisé au quatrième trimestre de l’année dernière et légèrement supérieur aux attentes des économistes de 0,7%, selon les données publiées jeudi par Statistics New Zealand. Bien que l’économie soit encore plus petite qu’elle ne l’était il y a un an, cette reprise sera bien accueillie par le gouvernement, car elle fait de la croissance économique une priorité clé avant les élections générales de 2026. Mais l’économie est maintenant mise à l’épreuve par l’incertitude liée aux tensions commerciales mondiales, ce qui freine les dépenses et les investissements et fait craindre un affaiblissement de l’expansion.